A P P L I C A T I O N  M E T I E R  S O U S  L I N U X :  V A R I C A D
par André Pascual
A  r  t  i  c  l  e  s 





Introduction
Statut
Démarrer
Facilités d'utilisation
Interface
Bibliothèques 2D/3D
Travailler en 2D
Liaison 2D/3D
Travailler en 3D
Formats d'échange
Conclusion
Retour Index
Puisqu'on évoque l'interface

L'interface se compose d'une fenêtre unique avec plusieurs barres d'icônes en partie supérieure et inférieure, chaque barre étant constituée de palettes d'outils alignées horizontalement; mais chacun, s'il préfère oeuvrer dans un joyeux désordre peut détacher les palettes et les déposer où bon lui semble, sans toutefois qu'elles puissent recouvrir l'espace de tavail.

Varicad étant une application 2D (plans) et 3D (pièces et assemblages), permet le passage d'un mode à l'autre simplement en cliquant sur l'icône 2D ou 3D. Les fonctions et menus proposés changent automatiquement selon le mode de travail choisi. De plus, Varicad étant multi-documents, on peut très bien avoir ouvert une tâche 2D et une autre 3D, à condition d'utiliser « Files> Open Next ». La navigation d'un projet à l'autre se fait par le biais du menu « Windows », ce qui entraîne l'adaptation de l'interface.

On se rend compte de la richesse des fonctionnalités au nombre de pictogrammes affichés, et l'on serait porté à croire que tout cela est confus. Ce serait une erreur. En fait tout utilisateur de ce type de programme retrouve vite ses marques, parce qu'il a toujours eu besoin des fonctions de dessin indispensables qu'il retrouve dans Varicad: entités, accrochages (snap), contraintes géométriques (ortho, tangent..), éditions (Trim, delete, extend, divide...), hachurage, cotation, annotation et visualisation.

De plus, des boîtes de dialogues contextuelles, sous forme de palettes, apparaissent selon la logique de construction d'une entité. Ainsi, cliquer sur l'icône « Circle Center Point », c'est à dire « Construction d'un cercle de centre connu passant par un point connu » provoque l'ouverture de la palette contextuelle « Snap » permettant de désigner comme centre du cercle en construction: l'extrêmité d'un segment, d'un arc, l'intersection de deux entités etc, puis de sélectionner le point existant par lequel le cercle doit passer. Si aucun point n'existe, il suffit de cliquer sur l'écran.

Si l'on désirait construire un cercle de centre et de rayon connus, il fallait choisir la fonction adéquate et entrer la valeur du rayon après avoir positionné le centre du cercle. A noter que toutes les possibilités de construction d'une entité ne figurent pas sous forme d'icônes. Dans ce cas là, il suffit d'ouvrir le menu « Draw>Arcs or Circle> Circle tangent to 3 Objects » (par exemple). Pour cet exemple précis, la palette contextuelle « Selection » serait apparue afin de sélectionner les trois objets auxquels le cercle serait tangent.


On se rend compte, à ce qui vient d'être dit, de l'extrême rigueur de construction, et de la logique d'ouverture et de fermeture des boîtes de dialogue contextuelles
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D'autres boîtes existent: il s'agit de celles permettant le paramétrage des éléments, qu'il s'agisse du type de trait, de sa couleur, des hachures, du texte, des éléments de bibliothèque... dont il sera question plus avant. Et pour en terminer avec l'interface, on notera la présence du champ « Command » dont il a déjà été fait mention (toutes les commandes passées au programme même en activant une icône, y sont mémorisées sous forme abrégées accolées à une icône significative); on notera également un champ de coordonnées du pointeur, un autre affichant la contrainte de construction en cours, l'activation ou non de la grille et enfin les unités de dessin utilisées.